Depuis l’émergence des grands modèles de langage, l’attention des chercheurs et développeurs s’est portée sur la sécurisation de leurs réponses. Les mécanismes de filtrage, d’alignement et de contrôle ont pour objectif de rendre les IA “utiles, honnêtes et inoffensives”. Pourtant, une nouvelle forme de contournement, plus subtile que les jailbreaks ou les prompt injections, commence à faire parler d’elle : le « vibe hacking ».
Microsoft vient de dévoiler un système d’intelligence artificielle qui surpasse les performances humaines dans des cas de diagnostic médicaux complexes. Selon une étude comparative conduite sur des milliers de scénarios cliniques, cette IA serait jusqu’à quatre fois plus précise que les médecins généralistes dans certaines situations rares ou difficiles à identifier1.
L’intelligence artificielle s’impose désormais comme une force structurante dans le domaine de la santé. Le projet AMIE (Articulate Medical Intelligence Explorer), dévoilé par Google DeepMind, marque une étape significative